L'appendicite aiguë chez la femme, si elle n'est pas enceinte ou la grossesse chez elle pas plus de 2—3 mois, klinitcheski ne se distingue peut-être pas de l'appendicite chez les hommes. Il faut seulement se rappeler que chez les femmes la position pelvienne de l'appendice vermiforme se rencontre plus souvent. Cette circonstance, premièrement, affecte le tableau clinique de la maladie (voir. L'appendicite pelvienne) et, deuxièmement, crée les difficultés pour le diagnostic différentiel chez eux l'appendicite aiguë des maladies aiguës gynécologiques. Ces difficultés résultent non tant de ce qu'à l'appendicite pelvienne le passage du procès inflammatoire des appendices à la pousse et le dos, combien sont semblables les symptômes de ces maladies est possible. La pratique montre que la défaite simultanée par la maladie aiguë inflammatoire de l'appendice et la pousse se rencontre non souvent (environ à 3 % A.Bock), d'habitude les défaites de n'importe quel de ces organismes sont isolées. Les maladies aiguës gynécologiques (annexite, pelvipéritonite) donnent la raison aux médecins de l'aide extrahospitalière incorrectement plus souvent pour diagnostiquer l'appendicite aiguë, que l'appenditite aiguë — la maladie gynécologique. Dans tous les cas, les annexes aiguës sont diagnostiquées dans les services chirurgicaux au lieu de l'appendicite attendue plus souvent qu'au contraire. D'après les données de l'Institut d'ambulance (Leningrad), les médecins du local et de la prise en charge aiguë ont diagnostiqué à tort l'appendicite au lieu des maladies gynécologiques d'en haut qu'à 12 %. Si compter ce pour-cent sur la relation seulement au nombre total des femmes malades, cela donnera près de 25 % des erreurs. Ce chiffre est donné aussi par E. A. Bock à la base du document de l'hôpital de Lénine.
Le diagnostic de l'appendicite aiguë chez les femmes se fonde sur le compte des mêmes symptômes de la maladie, que chez les hommes. En outre la maladiveté à l'appendicite ne s'étend pas à une moyenne ligne de l'estomac, n'est pas définie sur le pubis, comme à ces maladies. Pour l'appendicite aiguë, mais non la maladie gynécologique dira aussi le caractère de l'effort musculaire du mur de devant abdominal, ce qu'à l'appendicite il est toujours présent, est seulement diversement exprimé dans nombre de cas et d'habitude plus ou moins localisé. Seulement si la pelvipéritonite dépasse la cavité pelvienne, il y a plus ou moins distinctement une tension exprimée du mur abdominal prenant sa partie la plus inférieure est en outre identique comme à droite, et à gauche de la moyenne ligne.
Reconnaissance de l'appendicite aiguë chez les femmes à partir du quatrième mois de la grossesse commence déjà à présenter certaines difficultés, et les dernières deviennent si grandes, que la durée de la gestation est plus longue. La raison en est que de cela environ le temps le caecum et la pousse sont déplacés par l'utérus augmenté vers le haut, jusqu'au domaine de la disposition du foie, de la vésicule biliaire, du rein. Il est clair qu'on peut mêler les symptômes de l'appendicite aiguë et les symptômes de la défaite de ces organismes sans mentionner que la douleur de la réduction de l'utérus peut être prise pour la douleur appendiculaire.
Complique considérablement le diagnostic de l'appendicite aiguë à la grossesse et ce que de plus le symptôme le plus précieux pour le diagnostic — l'effort du mur abdominal n'est pas observé d'habitude.